Voici un an, je vous faisais part de ma délectation de lecteur assidu de James Lee Burke une fois refermé le 21eme tome de la saga de Dave Robicheaux, alter ego policier de l’auteur et son protagoniste le plus attachant, avec la satisfaction de savoir entamée la traduction de l’épisode suivant. Alors que je viens d’achever la lecture de New Iberia blues, l’exact même papier ferait presque l’affaire, et la version française d’A private cathedral devrait égayer la rentrée de janvier prochain...