Soyons punks une seconde, et profitons de ce mois où l’on sacre les meilleurs livres de l’année pour saluer une maison d’édition experte en dépoussiérage de trésors oubliés. Je parle ici de Monsieur Toussaint Louverture, à qui l’on devait déjà l’éblouissant Tous les hommes du roi, de Robert Penn Warren. Le dernier stade de la soif est un autre objet visuellement magnifique, mais d’une manipulation autrement plus aisée qu’un parpaing d’Actes Sud. Il s’agit aussi d’un classique américain virtuose et méconnu par chez nous.