Il me semble que ça date de mai 2016. Je venais de produire un pensum de 19000 signes sur un concert de hard rock, repris par un site web d’honorable réputation. Vérifiant compulsivement le compteur à « likes », je m’aperçus qu’un zozo avait laissé un commentaire. Trois ou quatre mots aimables, de surcroît. Qui diable laisse encore des commentaires sur un fanzine en ligne, en ces temps où chacun peut hurler à la face du monde l’infinie pertinence de son avis singulier, le tout en un seul clic ? On était donc en mai 2016, et Nicolas Houguet commençait déjà à me courir sur le haricot.