Je suis devenu fan du Racing Club de Lens lors de la saison 82-83. Parce que je voulais mon club à moi, que mon frère aimait Saint-Étienne, que l’OM était en D2, que Lens avait la même tenue Europe 1 que les cadors du FC Nantes – substituant juste le rouge au vert -, que l’équipe d’alors avait de la gueule et que les joueurs, dont mon idole moustachue Daniel Xuereb, irradiaient d’une classe folle...