Exceptionnel d’intensité, le débat intérieur qui m’agita à l’heure de décider si j’irais ou non au dîner secret en blanc de ce jeudi 13 juin se concentra presque exclusivement sur la question du pantalon. N’étant ni steward de croisière Costa, ni le jeune Massimo Gargia, le port d’un futal blanc me semblait relever de la faute de carre absolue. Et pourquoi ne pas le choisir en cuir ? Sans déconner.